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Les mécanismes profonds de l'autosabotage

L'autosabotage est un phénomène intrigant qui peut entraver notre croissance personnelle, notre succès et notre bonheur. Même lorsque nous avons de grandes aspirations et que nous faisons des progrès en apparence, des mécanismes profonds d'autosabotage peuvent nous empêcher d'atteindre nos objectifs. Dans cet article, nous plongerons au cœur de ces mécanismes, explorerons les raisons pour lesquelles nous nous mettons des bâtons dans les roues, et découvrirons comment surmonter ces tendances autodestructrices pour libérer pleinement notre potentiel.



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Les origines de l'autosabotage


L'autosabotage a souvent des racines profondes dans nos expériences passées, en particulier dans les premières années de notre vie. Ces expériences ont le pouvoir de façonner notre perception de nous-mêmes, de nos capacités et du monde qui nous entoure. Voici quelques éléments clés pour comprendre les origines de l'autosabotage :

  1. Traumatismes de l'enfance : Les traumatismes de l'enfance, qu'ils soient physiques, émotionnels ou psychologiques, laissent des cicatrices durables. Les enfants qui ont vécu des traumatismes peuvent développer des mécanismes d'adaptation, tels que l'autosabotage, pour faire face à ces expériences traumatisantes. Par exemple, un enfant maltraité peut apprendre à s'autosaboter comme moyen de se protéger des relations potentiellement nocives.

  2. Modélisation comportementale : Les enfants sont d'incroyables observateurs et imitateurs. Ils apprennent en observant les adultes qui les entourent. Si un enfant grandit dans un environnement où l'autosabotage est courant, il peut adopter ces comportements comme étant la norme. Par exemple, si les parents ou les tuteurs se critiquent constamment et se dévalorisent, l'enfant peut internaliser cette tendance à l'autosabotage.

  3. Dévalorisation et critique : Les paroles et les actes négatifs dirigés vers un enfant peuvent avoir un impact durable sur sa perception de lui-même. La critique constante, la dévalorisation ou les messages négatifs peuvent éroder la confiance en soi et encourager l'autosabotage. Par exemple, un enfant constamment critiqué peut développer une faible estime de lui-même, ce qui le pousse à s'auto-saboter en ne croyant pas en ses compétences.

  4. Modèles de réussite et d'échec : L'autosabotage peut également être influencé par les modèles de réussite et d'échec que nous avons rencontrés dans notre enfance. Si nous avons vu des adultes prospères autour de nous s'auto-saboter ou échouer, nous pourrions adopter ces schémas de comportement sans même nous en rendre compte.

Il est essentiel de reconnaître que les origines de l'autosabotage peuvent être variées et complexes. La prise de conscience de ces origines est une première étape importante pour briser les schémas autodestructeurs et travailler à une transformation personnelle significative. En comprenant ces origines, il devient possible de reprogrammer nos pensées, nos émotions et nos comportements pour atteindre une vie plus épanouissante.



Les croyances limitantes


Les croyances limitantes sont comme des entraves invisibles qui entravent notre cheminement vers le succès et le bonheur. Ces convictions profondément enracinées façonnent la manière dont nous nous percevons, nos capacités, et le monde qui nous entoure. Voici comment les croyances limitantes peuvent devenir des mécanismes d'autosabotage :

  1. Auto-infligées ou inculquées : Les croyances limitantes peuvent être le résultat de nos propres expériences, comme l'échec ou le rejet, mais elles peuvent aussi être inculquées par d'autres personnes, telles que des parents, des enseignants, ou des figures d'autorité. Par exemple, si un parent répète constamment à un enfant qu'il n'est pas intelligent, cet enfant peut développer la croyance limitante qu'il est incapable de réussir intellectuellement.

  2. Filtres de perception : Les croyances limitantes agissent comme des filtres à travers lesquels nous percevons le monde. Si quelqu'un croit profondément qu'il est inapte à réussir dans sa carrière, il interprétera chaque opportunité comme une confirmation de cette croyance. Ces filtres de perception distordent la réalité et peuvent conduire à l'autosabotage, car ils nous empêchent de voir les opportunités et les solutions.

  3. Croyance en sa propre valeur : Les croyances limitantes sont souvent liées à l'estime de soi. Si quelqu'un a une faible estime de lui-même, il peut croire qu'il ne mérite pas le succès, le bonheur ou l'accomplissement. Cette croyance en sa propre valeur limite ses aspirations et le pousse à éviter les opportunités qui pourraient le conduire vers un meilleur avenir.

  4. Le syndrome de l'imposteur : Le syndrome de l'imposteur est un exemple courant d'autosabotage lié aux croyances limitantes. Les personnes qui souffrent de ce syndrome croient qu'elles ne méritent pas leurs succès, qu'elles sont des imposteurs, et qu'elles seront bientôt exposées. Cette croyance limite leur confiance en elles et les empêche de poursuivre activement leurs objectifs.

  5. Autosabotage inconscient : L'autosabotage lié aux croyances limitantes est souvent inconscient. Les individus ne se rendent pas compte qu'ils se sabordent parce que leurs actions sont conformes à leurs croyances limitantes. Par exemple, une personne qui se pense inapte à entreprendre pourrait repousser indéfiniment le lancement de son entreprise, même si elle en a le potentiel.

La première étape pour surmonter les croyances limitantes est de les identifier et de les remettre en question. Cela nécessite une auto-réflexion honnête et peut souvent être facilité par un travail en thérapie ou en coaching. En changeant ces croyances autodestructrices, nous pouvons débloquer notre potentiel, nous sentir plus confiants et engagés dans la poursuite de nos objectifs, et réduire les mécanismes d'autosabotage qui les accompagnent.



La peur de l'échec et de la réussite

La peur de l'échec est un mécanisme d'autosabotage puissant qui peut paralyser nos efforts et nous empêcher d'atteindre nos objectifs. Cette peur est enracinée dans l'aversion du rejet, de l'humiliation ou du jugement négatif qui pourrait découler d'un échec. Voici comment elle fonctionne et comment elle peut saboter nos aspirations :

  1. Peur de l'échec : La peur de l'échec peut nous amener à éviter de prendre des risques. Nous choisissons la sécurité et la familiarité plutôt que de nous aventurer dans l'inconnu. Par exemple, quelqu'un qui souhaite changer de carrière mais craint l'échec peut rester dans un emploi insatisfaisant par peur de ne pas réussir dans un nouveau domaine.

  2. S'autosaboter pour éviter l'échec : La peur de l'échec peut également nous pousser à nous auto-saboter. Parfois, inconsciemment, nous agissons de manière à nous assurer que nous n'atteignons pas nos objectifs, évitant ainsi le risque d'échec. Par exemple, un étudiant qui craint de ne pas réussir ses examens peut délibérément procrastiner ou saboter ses révisions.

  3. Peur de la réussite : La peur de la réussite est un aspect moins connu de l'autosabotage, mais tout aussi réel. Le succès peut apporter des changements significatifs dans nos vies, tels que de nouvelles responsabilités, de nouvelles attentes et parfois, des modifications dans nos relations. Ces inconnues peuvent être effrayantes et déclencher de l'anxiété, ce qui nous pousse à nous auto-saboter pour éviter ces conséquences.

  4. Le syndrome de l'autosabotage de la réussite : Les individus atteints du syndrome de l'autosabotage de la réussite ont souvent peur des attentes accrues qui accompagnent le succès. Ils craignent d'être submergés par des responsabilités et de ne pas être à la hauteur. Par conséquent, ils peuvent saboter leurs propres réalisations pour maintenir un statu quo plus confortable.

  5. L'auto-préservation émotionnelle : L'autosabotage peut également être vu comme une forme d'auto-préservation émotionnelle. Lorsque nous échouons ou nous auto-sabotons, nous pouvons éviter de devoir affronter la réalité de nos objectifs non atteints. Cela peut sembler moins douloureux que de faire face à l'échec.

La première étape pour surmonter la peur de l'échec et de la réussite est la prise de conscience. Il est essentiel de reconnaître ces peurs et de comprendre comment elles influencent nos comportements. Ensuite, il est possible de travailler sur la gestion de ces peurs, la réduction de l'anxiété liée à l'inconnu, et la création d'une mentalité plus orientée vers la réussite. L'autosabotage peut être surmonté en adoptant des stratégies de gestion du stress, de développement de la confiance en soi et de prise de responsabilité pour nos actions.



L'auto-indulgence et la procrastination


L'auto-indulgence et la procrastination sont des mécanismes d'autosabotage qui peuvent sembler moins évidents que la peur de l'échec, mais qui sont tout aussi efficaces pour nous éloigner de nos objectifs. Ces comportements offrent un soulagement temporaire du stress ou de l'anxiété, mais ils empêchent simultanément notre progression. Voici comment l'auto-indulgence et la procrastination peuvent devenir des obstacles :

  1. L'auto-indulgence comme évasion : L'auto-indulgence, qu'il s'agisse de manger excessivement, de consommer de l'alcool ou de passer de longues heures devant un écran, peut servir d'échappatoire face à des émotions inconfortables ou des situations stressantes. Ces comportements procurent un soulagement momentané, mais ils ne résolvent pas les problèmes sous-jacents.

  2. La procrastination comme évitement : La procrastination est un mécanisme courant d'autosabotage. Plutôt que d'aborder des tâches difficiles ou inconfortables, nous les repoussons indéfiniment. Nous choisissons de faire quelque chose d'agréable et immédiat au lieu de faire face à nos responsabilités. Cela peut entraîner des retards, des opportunités manquées et une accumulation de stress.

  3. Éviter les émotions négatives : L'auto-indulgence et la procrastination sont souvent des stratégies pour éviter de faire face à des émotions négatives telles que l'anxiété, le doute de soi, ou la frustration. Ces comportements offrent une distraction temporaire, mais ils ne résolvent pas les problèmes sous-jacents et peuvent même les aggraver.

  4. Le cycle de la culpabilité : Après l'auto-indulgence ou la procrastination, il est courant de ressentir de la culpabilité. Cette culpabilité peut devenir un autre moteur d'autosabotage, car elle renforce le sentiment d'échec et peut nous pousser à répéter les mêmes comportements autodestructeurs.

  5. Éviter la confrontation : L'auto-indulgence et la procrastination peuvent également être utilisées pour éviter la confrontation avec des problèmes plus profonds. Par exemple, quelqu'un qui utilise la nourriture comme échappatoire peut ne jamais traiter les problèmes émotionnels qui sous-tendent ce comportement.

La clé pour surmonter l'auto-indulgence et la procrastination est de développer des stratégies pour faire face aux émotions inconfortables, pour gérer le stress de manière saine, et pour prendre des mesures proactives pour atteindre nos objectifs. Cela peut inclure des techniques de gestion du stress, des plans d'action concrets, la création de routines, et l'auto-compassion pour éviter le cycle de la culpabilité. En travaillant sur ces aspects, nous pouvons réduire l'impact de l'auto-indulgence et de la procrastination sur nos vies et nous rapprocher de nos aspirations.


L'autosabotage relationnel


L'autosabotage relationnel est un aspect particulièrement complexe de l'autosabotage qui se manifeste dans nos interactions avec les autres. Les peurs profondément enracinées liées à l'abandon, à l'intimité ou au rejet peuvent entraver nos relations, même lorsque nous les chérissons. Voyons ensemble comment ces peurs peuvent mener à l'autosabotage relationnel :

  • Peur de l'abandon : La peur de l'abandon peut être une source majeure d'autosabotage relationnel. Une personne qui a connu des expériences antérieures de rejet ou d'abandon peut développer une hypersensibilité à la possibilité d'être quittée. Cette peur peut la conduire à adopter un comportement possessif, à exiger constamment des preuves d'amour ou à créer des conflits pour tester la loyauté de son partenaire.

  • Peur de l'intimité : Certaines personnes craignent l'intimité émotionnelle et s'auto-sabotent pour éviter d'être vulnérables. Elles peuvent se retirer émotionnellement, garder leurs émotions en retrait ou saboter la relation lorsque les choses deviennent trop intimes. Cette peur de l'intimité peut être liée à des expériences passées de trahison ou de vulnérabilité non acceptée.

  • Peur du rejet : La peur du rejet peut amener une personne à saboter sa relation pour éviter d'être rejetée. Elle peut se dévaloriser, s'auto-saboter pour donner une justification au rejet, ou même anticiper le rejet en se retirant de la relation avant que cela ne se produise réellement.

  • Le cycle destructeur : L'autosabotage relationnel peut créer un cycle destructeur. La personne qui sabote peut devenir convaincue que les relations sont vouées à l'échec, ce qui la pousse à répéter le schéma d'autosabotage dans chaque nouvelle relation.

  • La confiance et la communication : L'autosabotage relationnel peut également être le résultat d'un manque de confiance en soi et de compétences en communication. Une personne qui n'a pas confiance en sa capacité à gérer les conflits ou à exprimer ses besoins peut opter pour l'autosabotage comme moyen de protection.

Surmonter l'autosabotage relationnel implique une exploration en profondeur de ces peurs, une amélioration de la confiance en soi, et le développement de compétences en communication et en résolution de conflits. Un accompagnement de couple ou individuelle peut être utile pour aborder ces problèmes sous-jacents et apprendre à créer des relations saines et épanouissantes. L'auto-réflexion et la prise de conscience de ces schémas d'autosabotage sont également essentielles pour briser le cycle destructeur.



Le mécanisme d'auto-compensation


L'autosabotage peut également prendre une forme particulièrement intrigante, à savoir le mécanisme d'auto-compensation. Ce mécanisme est enraciné dans un désir profondément inconscient de rétablir un équilibre perçu entre son propre succès et le bien-être des autres. Voici comment cela fonctionne et comment cela peut mener à l'autosabotage :

  • La culpabilité empathique : Les individus qui expérimentent le mécanisme d'auto-compensation ont souvent un fort sens de l'empathie et de la compassion envers les autres. Ils peuvent ressentir de la culpabilité à l'idée de réussir ou de s'épanouir, surtout lorsque d'autres autour d'eux souffrent ou font face à des difficultés.

  • Auto-sabotage comme équilibre : Pour compenser cette culpabilité, ces individus peuvent se saboter inconsciemment. Ils croient que leur succès personnel cause de la souffrance aux autres, donc, pour maintenir un équilibre perçu, ils peuvent saboter leurs propres réalisations. Cela peut prendre la forme de ne pas accepter des opportunités, de s'auto-critiquer, ou de s'empêcher de poursuivre des objectifs personnels.

  • Équilibre sain : Il est important de noter que le désir de trouver un équilibre entre son propre bien-être et celui des autres est en soi une qualité admirable. Cependant, l'autosabotage se produit lorsque cet équilibre n'est pas sain. Plutôt que de favoriser le bien-être des autres, il peut finir par affecter la personne elle-même et son entourage.

  • Prise de conscience et équilibre sain : La prise de conscience de ce mécanisme est essentielle pour éviter l'autosabotage. Apprendre à établir un équilibre sain entre ses propres objectifs et le soutien envers les autres est une démarche importante. Cela peut inclure des discussions ouvertes avec les personnes qui sont affectées par notre succès, la recherche de moyens d'apporter un soutien tout en poursuivant ses propres aspirations, et le travail sur la gestion de la culpabilité de manière constructive.

La clé pour surmonter le mécanisme d'auto-compensation est de trouver un équilibre sain entre le soutien envers les autres et la poursuite de ses propres objectifs. Cela nécessite une auto-réflexion profonde, une communication ouverte avec les personnes affectées, et la gestion de la culpabilité d'une manière qui n'entrave pas notre bien-être personnel. Une fois que cet équilibre est atteint, l'autosabotage peut être évité, et on peut continuer à progresser vers le succès personnel de manière harmonieuse.



Surmonter l'autosabotage


La lutte contre l'autosabotage est une démarche qui nécessite une profonde prise de conscience, de la patience et des efforts continus. Voyons ensemble maintenant les étapes clés pour surmonter l'autosabotage :

  1. Auto-réflexion : La première étape consiste à s'engager dans une auto-réflexion honnête pour identifier les comportements autodestructeurs. Il est essentiel de reconnaître ces schémas d'autosabotage pour pouvoir les changer.

  2. La thérapie: Pour explorer les origines profondes de l'autosabotage, la thérapie peut être une aide puissante. Le thérapeute peut vous aider à comprendre les traumatismes passés, les croyances limitantes et les schémas de comportement qui sous-tendent l'autosabotage.

  3. Reprogrammation des croyances limitantes : La reprogrammation des croyances limitantes est cruciale pour surmonter l'autosabotage. Il s'agit de remplacer les pensées négatives par des croyances positives qui renforcent la confiance en soi et l'estime de soi.

  4. Prise de responsabilité : Prendre la responsabilité de ses actions est une étape importante. Cela signifie reconnaître que vous avez le pouvoir de changer et que vous n'êtes pas simplement une victime de circonstances. Vous pouvez choisir de mettre fin à l'autosabotage.

  5. Développement de l'estime de soi : Le renforcement de l'estime de soi est essentiel pour éviter l'autosabotage. Plus vous croyez en vos compétences et en votre valeur, moins vous aurez tendance à vous saboter.

  6. Cultiver la résilience émotionnelle : La résilience émotionnelle est la capacité à faire face aux revers sans s'auto-saboter. Elle vous permet de gérer le stress, la frustration et l'échec de manière constructive, plutôt que de vous laisser submerger par ces émotions.

  7. Coaching holistique : Le coaching holistique peut être un atout précieux pour surmonter l'autosabotage et développer pleinement son potentiel. Les coachs holistiques travaillent sur tous les aspects de votre bien-être, y compris l'aspect physique, émotionnel, mental et spirituel. Ils vous aident à aligner vos valeurs, à définir des objectifs significatifs, et à créer un plan d'action pour les atteindre. Le coaching holistique peut également vous apprendre des techniques de gestion du stress, de méditation, de visualisation, et d'autres pratiques pour maintenir un équilibre harmonieux dans votre vie. Le coach holistique vous accompagne pour comprendre votre mécanique personnelle d'auto-sabotage, à identifier la/les blessures qui nourrissent les croyances limitantes et à les remplacer par une mécanique positive qui va vous permettre de déployer votre potentiel.

La lutte contre l'autosabotage peut être complexe, mais avec un engagement sincère envers la croissance personnelle et le soutien approprié, il est possible de surmonter ces schémas autodestructeurs. Le coaching holistique, en particulier, peut être une voie puissante vers la transformation personnelle en aidant à comprendre les aspects de votre vie qui vous retiennent, en les libérant et en vous guidant vers une réalisation de votre potentiel.


Comprendre les mécanismes profonds de l'autosabotage est une première étape essentielle vers la croissance personnelle et le succès. En travaillant sur la prise de conscience de soi, la modification de nos croyances limitantes, la gestion de nos peurs, et le développement de compétences émotionnelles vous pouvez vous libérer de l'autosabotage. Vous avez toutes les clés en vous pour mener une vie plus épanouissante, équilibrée et en harmonie avec vos aspirations les plus profondes.

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